Introduction:
Nos modes de vie actuels sont bien souvent contraignants pour nos carnivores
domestiques qui, en raison de leur taille généralement inférieure à la nôtre, doivent s’adapter.
Certaines situations, comme la chute d’un immeuble ou d’une voiture en marche, sont
génératrices de traumatismes. Ceux-ci sont à l’origine de diverses affections possibles, parmi
lesquelles les fractures des os longs prennent une grande place dans la pathologie quotidienne
à laquelle le vétérinaire praticien est confronté (Noury, 2006).
La chirurgie orthopédique vétérinaire est une activité en plein essor depuis quelques
années. Les avancés techniques de cette spécialité proviennent dans la plupart du temps des
données de la chirurgie humaine. Parmi les problèmes d’orthopédie les plus répandus au terrain
qui menacent la mobilité et la vie des animaux domestiques les fractures du fémur occupent
une place très importante. En effet, l’incidence des fractures du fémur représente 20 à 25 % de
la totalité des fractures chez le chien (Brinker, 1997).
Cette étude s’inscrit dans ce contexte et elle a pour but d’étudier cliniquement les
fractures fémorales chez les carnivores domestiques.
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